À 16 ans, on a fini les études académiques, du primaire au lycée, on a eu notre Baccalauréat, peut-être même du CAP en poche, la vie dans un campus universitaire n’est pas facile, chacun se débrouille à sa manière, et les étudiants se lancent comme travailleur de sexe à la fin pour de nombreuses raisons.
Le besoin de manger conduit jusqu’au sexe
Pour le moment, les élèves ne savent pas comment suivre les cours à la fac et subvenir à leurs besoins, qui grandissent avec le temps. Loin des parents, ils essayent de ne pas les décevoir et d’assumer leur vie autant qu’ils peuvent. Le travail sur le sexe est ouvert à tout le monde en plus avec un peu de sacrifice, une photo nue lancée sur le Net peut rapporter de quoi vivre durant 1 mois. Alors, on n’a rien à perdre, on se lance. Selon l’enquête du journal « lesechos », une jeune étudiante arrive à gagner en moyenne 1 100 euros par mois. Des fois, c’est plus des fois quand c’est la préparation de l’examen qu’elle gagne moins, mais elle arrive à s’en sortir. Dans la plupart du temps, elle le fait parce que c’est son gagne-pain, mais humain comme elle est, des fois, cette etudiante en chaleur le fait pour le plaisir.
Le sexe et les étudiants
Sachez que tous les étudiants ne sont pas à la charge de l’État. En plus, même si c’est le cas, l’État assure une part des dépenses au campus. En plus, peu d’étudiants venant de la région ont le droit à l’appartement du campus. Une grande majorité des étudiants doivent rechercher des appartements non loin de la faculté. Ce qui veut dire qu’il faut de l’argent pour payer le loyer, le repas, les habits, etc. Presque tous les étudiants sont dans l’obligation de trouver du travail pour se faire un peu d'oseille.
Le sexe est le seul domaine où ils peuvent travailler à leur guise, où les pressions sont tolérables. Loin de là l’idée de dire que c’est de l’argent facile, c’est un métier comme tant d’autres et on va juste y prendre plaisir.